Questions d'orthographe Les règles d’orthographe du quotidien expliquées
des « ayant droit » ou des « ayants droit » ?
« Ayant » étant un participe présent, on répugne à l’accorder, même dans « ayant cause » et « ayant droit ».
« en fesant » ou « en faisant » ?
Comme on entend [e] dans la première syllabe de « faisant », on est tenté d’écrire « fesant » au lieu de « faisant ».
« avenir » ou « à venir » ?
Attention ! N’écrivez pas « les réjouissances avenir » mais « les réjouissances à venir ».
« tout heureuse » ou « toute heureuse » ? « tout honteuse » ou « toute honteuse » ?
On n’entend pas de différence entre « tout heureuse » et « toute heureuse ». Dès lors, comment savoir s’il faut ou non mettre un « e » à « tout » ?
« peut être » ou « peut-être » ?
On a tellement l’habitude de voir « peut-être » écrit avec un trait d’union qu’on en met machinalement un dans des phrases telles que : « Cela peut-être le signe d’une maladie grave », alors qu’il faut écrire : « Cela peut être le signe d’une maladie grave. »
« Elle vaut cher » : l’accord de l’adjectif employé comme adverbe
Décès : faut-il écrire « feu » ou « feue » ?
Empreint ou emprunt : quelle différence ?
« Achalandé » ou « approvisionné » ?
« Fesait » ou « faisait » ?
du bon usage de « s’avérer »
S’il est une erreur qui s’échappe de toutes les bouches, c’est bien celle-là. Qui n’a jamais entendu un présentateur de journal télévisé dire que telle rumeur s’était « avérée fausse » ?
« parce que » ou « par ce que » ?
N’écrivez pas « Je suis surpris parce que je vous entends dire », encore moins « Je suis surpris parceque je vous entends dire ». Prenez votre temps et détachez chaque mot : « Je suis surpris par ce que je vous entends dire. »