La maîtrise du français et de la bonne orthographe étant fondamentale dans la prestation des sténotypistes (voir notre article sur la sténotypie), le Projet Voltaire est concerné par ce métier d’avenir et donne la parole à Thi An Doublet (sténotypiste) pour un témoignage qui pourrait susciter des vocations :
« Ayant toujours ressenti un intérêt particulier pour les matières littéraires, j’ai choisi le métier de sténotypiste, car celui-ci me conduit à utiliser mes bonnes connaissances en français et en culture générale au quotidien.
Lors de mes différentes interventions, l’exigence de mes clients porte principalement sur la qualité rédactionnelle, la reformulation, la synthèse, et surtout la transcription fidèle des idées exprimées. Il en va de ma crédibilité et de mon professionnalisme. Ces points sont essentiels et permettent notamment de gagner de nouveaux clients par le biais de recommandations.
Ce travail passionnant m’amène à aborder des thématiques très différentes telles que l’actualité politique, économique, sociale, environnementale. Ma position et mon rôle me permettent de travailler au cœur des centres de décision et de rencontrer des personnes qualifiées dans des domaines très variés. »
Je veux bien admettre que l’on doive soigner ses données personnelles en s’adressant à un public voire des clients, pour être mieux compris… mais rassurez-moi : c’est quoi toutes ces fautes qui se baladent dans les interlignes de la Communication et que font ces personnes « éminemment placées » ???? J’ai appris à ménager mes écrits ; et à appliquer les règles de l’Art de l’écriture à travers, la lecture, la curiosité, l’usage de la sténographie car je suis personnellement allergique aux fautes d’orthographe. Le Ministère de l’Education Nationale devrait revoir les copies du bon usage de la Langue française et de tous ses rouages, lors des examens fondamentaux qui participent aux échelons de tout Apprentissage proprement dit. Les notes et les barèmes concernant la grammaire et le vocabulaire dans l’Enseignement devraient être revisités. N’importe qui publie tout et n’importe quoi avec des aberrations impensables. Trop c’est trop : l’exagération n’en est pas la règle !!!