Benjamin Androdias est conseiller en gestion de patrimoine dans un groupe bancaire. Dans le cadre de ses études, il a eu l’occasion de découvrir le Projet Voltaire et de passer le Certificat Voltaire. Une fois inscrite sur son CV, cette certification s’est avérée être un véritable atout pour décrocher un premier emploi. Découvrez son témoignage.
Comment avez-vous connu le Projet Voltaire ?
J’ai eu la chance de pouvoir m’entraîner avec la plateforme dans le cadre de mes études secondaires au sein d’un centre professionnel bancaire. La formation était facultative et permettait de montrer ses compétences au travers d’une note délivrée par le Certificat Voltaire. Cette certification m’a servi dans mon quotidien professionnel comme personnel.
Qu’est-ce qui vous a convaincu dans la solution ?
Du fait de ses nombreuses règles, la langue française est loin d’être facile. Cette remise à niveau m’a permis de m’entraîner et d’apprendre de nouvelles choses à mon rythme. Aujourd’hui, ces compétences me sont utiles dans le cadre de ma profession et me permettent d’être plus à l’aise lorsque je m’exprime à l’oral ou à l’écrit. Ça a été gratifiant pour moi de pouvoir suivre cette formation et d’afficher mon résultat sur mon CV.
Parlez-nous de votre entraînement…
J’ai apprécié le fait qu’on puisse réviser et s’entraîner n’importe où et n’importe quand. Que ça soit à son domicile ou dans les transports, les exercices sont accessibles facilement dès lors qu’on ressent le besoin de s’améliorer. C’est une solution ludique et efficace pour mieux maîtriser la langue française.
73 % des recruteurs écartent un candidat qui a des lacunes en français contre 33 % pour l’anglais. Comment cette certification vous a-t-elle aidé dans le monde professionnel ?
Je n’ai pas manqué d’inscrire l’obtention de ce Certificat Voltaire sur mon CV et il s’est avéré que ça a été un atout pour trouver un emploi. Et c’était d’autant plus un atout par rapport à mon secteur d’activité qui se tient sur une zone géographique nationale et qui ne demande pas spécialement d’avoir une bonne maîtrise des langues étrangères. Au cours de mes entretiens, les recruteurs ont bien précisé l’importance de cette certification en langue française.
Selon vous, pourquoi est-il important de bien s’exprimer à l’oral et à l’écrit ?
Je constate, autour de moi, que les écrits sont quelque peu négligés. Ce relâchement peut en partie s’expliquer par l’évolution des nouveaux modes de communication : SMS, courriels, etc. On a tendance à abréger nos écrits pour gagner du temps, mais cela nous amène à faire des fautes aussi bien à l’oral qu’à l’écrit. C’est important de prêter attention à nos façons de communiquer pour éviter de donner une mauvaise image de soi.
Constatez-vous ces lacunes dans votre quotidien professionnel ?
J’ai la chance, dans mon secteur d’activité, de n’y être pas trop confronté et c’est plutôt rassurant, car ça nous permet d’être plus efficaces dans nos tâches du quotidien. Il arrive que certains de mes collègues me sollicitent pour certaines relectures, ce qui est plutôt flatteur. D’une manière générale, c’est vrai que les fautes d’orthographe reflètent un certain manque de professionnalisme, c’est pourquoi nous y sommes attentifs.
Comment recommanderiez-vous le Projet Voltaire ?
Je dirais que c’est quelque chose qui est gratifiant sur le plan personnel et professionnel. Ça permet également de se préparer à l’exercice de la prise de parole et de gagner en assurance. Je le recommande tant à mes collègues qu’à mon entourage personnel parce que c’est une formation qui est reconnue par les recruteurs et qui selon moi pèse tout autant qu’une certification en langue étrangère. Le Projet Voltaire s’adresse aussi bien à des particuliers qu’à des salariés, des personnes en recherche d’emploi ou bien des personnes en reconversion professionnelle. C’est avant tout un moyen de se distinguer en ajoutant une corde à son arc.
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