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L’écrivain Daniel Pennac – qui fut par ailleurs professeur de français – vante dans plusieurs de ses romans les bienfaits de la lecture à haute voix. Ainsi, dans Chagrin d’école et dans Comme un roman, il revient sur cette pratique. À plusieurs reprises, il affirme que cela intéresse beaucoup les élèves. Au passage, il évoque avec affection la détresse de l’un d’entre eux, qui s’endort et rate la fin d’un chapitre. Dans les « droits du lecteur » qu’il définit dans Comme un roman, l’écrivain cite celui de lire à haute voix.

Vous êtes entrepreneur ou chef d’entreprise et vous proposez des services de consultant, d’analyste, d’expert ou de chef de projet à d’autres entreprises ? Il est donc très probable que vous ou vos salariés vous trouviez souvent devant un clavier. Comprenez : en situation de d’écrire, que ce soit pour envoyer des documents et des résultats, rester en communication avec vos clients ou faire connaître les services de votre société.

Nous sommes toutes et tous amenés à vivre des situations qui nous imposent de prendre la parole pour convaincre une personne ou un auditoire. Cela arrive notamment de manière fréquente dans le cadre professionnel. Si aucune méthode n’est parfaitement infaillible, il existe cependant des techniques pour mettre toutes les chances de votre côté.

Selon une étude Ipsos menée pour le Projet Voltaire en 2021, 76 % des employeurs se trouvent quotidiennement confrontés aux lacunes de leurs équipes en matière d’orthographe et nombre d’entre eux s’y attaquent en formant leurs salariés. Mais au fait… qu’est-ce qui explique le nombre d’erreurs de français que nous laissons passer dans nos communications écrites ? Pour quelles raisons fait-on des fautes ?

Les émoticônes et les émojis ont envahi nos écrans, ceux de nos téléphones portables et de nos ordinateurs. Ils se sont glissés dans tous nos messages personnels… et professionnels. Est-ce une bonne chose ?