Quel est le point commun entre Jacques-OIivier (documentaliste), Morgane (ayant travaillé dans le secteur de la mobilité internationale) et Marisa (correctrice et graphothérapeute) ? Tous les trois ont suivi la formation de formateurs du Projet Voltaire. Découvrez leurs impressions en vidéo.
Je découvre la formation de formateurs en orthographe et expressionRetours d’expérience : la formation pour devenir formateur expert en orthographe et en expression
Jacques-Olivier : « Je suis Jacques-Olivier Catois, documentaliste à l’École de Management Normandie. »
Morgane : « Je m’appelle Morgane. J’ai 28 ans. J’ai travaillé durant 5 ans dans le secteur de la mobilité internationale, mais je n’ai jamais désespéré d’enseigner un jour. »
Marisa : « Je m’appelle Marisa. Je suis correctrice et rééducatrice en écriture, notamment pour les enfants, donc graphothérapeute. »
Pourquoi avez-vous choisi la formation de formateurs du Projet Voltaire ?
Marisa : « Sans démagogie, je pense que c’est la plus sérieuse, tout simplement. »
Jacques-Olivier : « À l’école, on a mis en place le Projet Voltaire depuis 2008. À la prochaine rentrée, on envisage réellement de passer un cap supérieur puisque le score au Certificat Voltaire sera obligatoire pour nos étudiants. On proposera également un cours avec un formateur pour les étudiants les plus faibles. »
Morgane : « J’avais déjà entendu parler du Projet Voltaire et passé la certification il y a environ trois ans et demi. Sachant que je souhaite développer une activité de correctrice-relectrice et de formatrice en orthographe, je me suis inscrite à cette session de formation. »
Qu’avez-vous pensé du contenu de la formation ?
Morgane : « Je suis ravie de cette formation. Je m’en sens grandie et j’espère sincèrement mettre à profit tout ce que j’ai appris, aussi bien sur des sujets techniques que pédagogiques. Je pense que cette formation va énormément me servir. »
Jacques-Olivier : « On a passé une semaine riche, studieuse mais dans la bonne ambiance. Ça s’est très bien passé. »
Marisa : « Nous avions un coach qui était sympathique mais surtout, il était bourré de talents pédagogiques. »
Jacques-Olivier : « On doit préparer une formation comme si on y était, en réel, d’une demi-heure qu’on présente à nos collègues de la formation sur un sujet qu’on a choisi. Donc, c’est quand même une belle préparation. »
Marisa : « Il y avait des échanges entre les différents participants. »
Morgane : « C’était vraiment une bouffée d’air frais de me retrouver avec un groupe aussi sympathique, aussi varié, et je remercie infiniment Julien et tous les autres participants pour leur bonne humeur, pour toutes les connaissances qu’ils m’ont apportées. »
Marisa : « Le dynamisme de l’équipe administrative qui a toujours répondu très gentiment à mes questions. »
Que pensez-vous de l’articulation cours en présentiel et modules de spécialisation en ligne ?
Morgane : « Il est plutôt judicieux d’avoir coupé la formation selon ce format : 4 jours en présentiel pour avoir des notions communes et 2 demi-journées (au minimum) de modules susceptibles d’intéresser certaines personnes plus que d’autres. »
Jacques-Olivier : « Notamment moi, j’ai choisi le FLE puisqu’il y a des étudiants français langue étrangère dans mon établissement. Mais aussi de plus en plus, un nombre non négligeable d’étudiants atteints de troubles de dyslexie. Donc, pour adapter notre approche pour être le plus utile pour nos étudiants. »
Marisa : « J’ai trouvé des modules, notamment comment s’installer en qualité de formateur. J’ai choisi comment apprendre de manière ludique aux enfants. »
Jacques-Olivier : « Je pense que la formule me convient, en tout cas cette façon de séparer le temps de formation du temps où on va préciser selon nos besoins et selon les publics avec lesquels on travaille. »