Vous souhaitez faire appel à un coach* pour mettre fin à vos difficultés en orthographe, à celles d’un proche ou d’un collaborateur ? Il est avant tout important de bien définir vos besoins et de ne pas vous tromper sur le formateur que vous allez solliciter. Parmi toutes les offres, comment choisir son coach et s’assurer qu’il sera compétent ? Le Projet Voltaire vous propose une liste de formateurs professionnels répondant à une liste objective d’exigences.
Le constat est établi : vos doutes en orthographe vous font perdre trop de temps en relecture, vos collaborateurs laissent trop souvent passer des fautes dans les documents professionnels, votre enfant a accumulé des lacunes qui l’empêchent d’être serein pour la poursuite de ses études… Pourquoi ne pas prendre un coach en orthographe pour y remédier ?
Encore faut-il trouver le bon ! Fort de son expérience et de son réseau, le Projet Voltaire vous propose une liste de formateurs compétents.
Tous répondent aux critères suivants :
– ils possèdent un Certificat Voltaire supérieur à 900 points (niveau expert) en cours de validité ;
– ils ont suivi la formation de formateurs en orthographe du Projet Voltaire enseignant une pédagogie et une méthode ludique à destination des adultes et des adolescents ;
– ils ont obtenu l’avis favorable du comité pédagogique du Projet Voltaire ;
– et ils ont fourni la preuve de la satisfaction de leurs stagiaires via une enquête de fin de formation de moins de 6 mois.
Découvrez les formateurs recommandés par le Projet Voltaire.
(la liste est enrichie au fur et à mesure)
* Nous utilisons le mot « coach », car c’est le mot qui est majoritairement utilisé dans les recherches effectuées sur Google. Veuillez nous excuser pour l’usage de cet anglicisme.
Pourriez-vous également encourager des alternatives aux anglicismes? Défendez la francophonie!
>répétiteur, tuteur, entraîneur, stimulateur, conseiller plutôt que « coach »
>mercatique, vente, commercialisation, diffusion, distribution, publicité et stratégie commerciale plutôt que marketing
>mél plutôt que email… (il arrive que le français soit plus concis que l’anglais)
Bonjour Grandamy, vous avez raison, il faut traduire les anglicismes dès que cela est possible. En revanche, certains équivalents n’ont pas « pris » en français. C’est le cas de « mercatique » et de « mèl » (on lui préfère « courriel »). Rappelons également que le Projet Voltaire a pour ambition d’améliorer l’orthographe. Or employer un anglicisme ne saurait constituer une faute. Bonne fin d’après-midi