L’IPAG forme ses étudiants avec le Projet Voltaire : « L’outil est génial »

Les étudiants de l’IPAG, école de commerce et de management, s’entraînent avec le Projet Voltaire pour améliorer leur orthographe et leur expression et passent le Certificat Voltaire.

En quoi la maîtrise du français est-elle importante pour l’IPAG ?

Thomas HERVOUET KASMI, responsable du Digital Learning Center

Grâce au Projet Voltaire, on va justement faire une identification assez fine des points à améliorer et donc muscler ces points justement qui vont leur permettre d’être plus professionnels lorsqu’ils vont passer les entretiens et surtout être plus professionnels lorsqu’ils vont être en stage, en alternance ou après dans le cadre de leur premier emploi.

Comment est organisé l’entraînement de vos étudiants ?

Audrey SAN LUCAS, coordinatrice Projet Voltaire

On va donner l’impulsion pendant les séances de cours pour leur entraînement. Et en fait, c’est surtout en autonomie à la maison qu’ils vont avoir un entraînement assez important à effectuer. Et donc cet entraînement, il va être conseillé de le faire le plus régulièrement possible.

Que pensez-vous de la solution ?

Audrey SAN LUCAS, coordinatrice Projet Voltaire

L’outil, il est génial. Moi, à titre personnel, je l’aime énormément parce qu’il est très simple d’utilisation, très très facile d’accès, très progressif, très doux, et permet vraiment d’ancrer le savoir, les connaissances autour, effectivement, d’une montagne qu’on peut s’en faire qui est l’orthographe, et la grammaire, et le vocabulaire, et tout ça.

Minella AVIS-ADROH, étudiante à l’IPAG d’Abidjan

Cette expérience a été enrichissante et bénéfique pour mon parcours académique et le sera, je pense bien, pour mon parcours professionnel.

Mathys MONTASSIER, étudiant à l’IPAG d’Abidjan

Participer à ce genre de projet est quand même une initiative très importante et nous permet de développer notre culture, de la langue, grammaire, orthographe et autres.

Ludivine CYPRIEN, étudiante à l’IPAG de Paris

Personnellement, il y a des règles maintenant que je retiens bien mieux grâce à cette application. C’est un petit peu comme un jeu où on peut s’exercer et apprendre de nouvelles règles. Je trouve que c’est une très bonne plateforme car elle nous permet de nous améliorer et d’apprendre de nouvelles règles de français en grammaire et en orthographe ou de revoir celles qu’on aurait pu oublier.

Marielle TAGBE, enseignante en communication

Il est aussi fondé sur la progression et la régularité, ainsi que la répétition. Donc il y a vraiment des éléments forts pour progresser.

Que mettez-vous en place pour les motiver à s’entraîner ?

Audrey SAN LUCAS, coordinatrice Projet Voltaire

Quand je les vois en cours, forcément je les motive, c’est la base, on va travailler ensemble autour du Projet Voltaire et de la méthodologie pour bien appréhender l’outil. Mais quand ils sont à distance, je les relance, donc je leur envoie des mails.

Marielle TAGBE, enseignante en communication

Pratiquement chaque semaine, je peux leur faire un point sur leurs progrès. Je peux aussi, en utilisant le Projet Voltaire en mode direct, revenir avec eux sur des points qui, pour la grande majorité d’entre eux, leur posent des difficultés.

Arezou NASSERI, cheffe de projet digital learning

Avec l’aide de l’enseignant, on a fait un suivi régulier, on a relancé les étudiants, on a fait des statistiques régulières mensuellement, en fait on l’envoyait à l’enseignant, et comme ça on mettait en valeur l’importance du Projet Voltaire.

Quels conseils donneriez-vous à un étudiant qui commence son entraînement ?

Audrey SAN LUCAS, coordinatrice Projet Voltaire

De ne pas s’enfermer dans un préjugé qui est « oh là là, mais l’orthographe, je suis nul depuis toujours, je ne vais jamais m’en sortir. » C’est de mettre les mains dans le cambouis, c’est-à-dire je fais petit à petit, et petit à petit je prends confiance, et je me rends compte que petit à petit, en fait, « ah, tiens, je progresse, ah, les règles commencent à être acquises, ah, puis en fait elles sont solides, ah, puis quand je fais mon test blanc ou à un moment donné de mon entraînement, je me rends compte que j’ai réussi en fait. »

Marielle TAGBE, enseignante en communication

De se connecter 10, 20, 30 minutes, mais de le faire le plus régulièrement possible. Cette régularité est, à mon avis, la clé du progrès.

Mathys MONTASSIER, étudiant à l’IPAG d’Abidjan

C’est quand même quelque chose qui ne prend pas longtemps par jour, un petit 10-15 minutes tous les jours, c’est déjà très bien pour une progression rapide.

Ludivine CYPRIEN, étudiante à l’IPAG de Paris

Plus on fait des erreurs et plus on a des questions qui nous permettent justement de mieux les comprendre. Également, lorsqu’il y a des règles qu’on n’arrive pas trop à assimiler, on peut visionner des vidéos qui nous les expliquent mieux donc je trouve que c’est un point très positif.

Pourquoi faire passer le Certificat Voltaire ?

Arezou NASSERI, cheffe de projet digital learning

Il y a beaucoup d’étudiants qui sont très motivés pour passer la certification Voltaire après leur entraînement.

Mathys MONTASSIER, étudiant à l’IPAG d’Abidjan

C’est vraiment un plus sur votre CV ou sur votre candidature.

Minella AVIS-ADROH, étudiante à l’IPAG d’Abidjan

Il atteste d’une excellente maîtrise de la langue française, ce qui est souvent un critère important dans de nombreux domaines professionnels.

Marielle TAGBE, enseignante en communication

Aujourd’hui, toutes les certifications en langue, et quelle que soit la langue, et même si c’est sa langue maternelle, sont les bienvenues et sont demandées comme justificatif sur les CV.

Thomas HERVOUET KASMI, responsable du Digital Learning Center

On a mis en œuvre toute une démarche projet sur les étapes de préparation, ce qui nous a permis du coup de mesurer la durée minimale nécessaire pour obtenir une augmentation systématique du niveau en français professionnel. Et du coup, c’est vrai que cette certification, elle nous permet juste d’être un peu la cerise sur le gâteau de ce processus.

Comment mesurez-vous l’efficacité du dispositif ?

Arezou NASSERI, cheffe de projet digital learning

La progression des étudiants sur la plateforme arrive à partir de 9h-10h d’entraînement sur la plateforme. pour avoir un décalage entre le niveau initial et le niveau atteint de l’étudiant. Donc ça c’était une découverte mais qui était complètement réelle et scientifiquement prouvée on va dire.

Recommanderiez-vous la solution Projet Voltaire aux établissements du supérieur ?

Oui bien sûr, dans la mesure où cette solution est quand même assez facile d’utilisation. Elle permet via l’intelligence artificielle qui est déployée de vraiment individualiser le parcours de formation à nos étudiants.

Arezou NASSERI, cheffe de projet digital learning

Carrément, parce qu’en fait on minimise le niveau de français, ce qui rend la société un peu crédible.

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